lundi 30 janvier 2012

Sécurité routière : les baladeurs MP3

Déjà pointés du doigt par les associations pour les dommages qu’ils causent aux tympans de nos ados préférés, ils seraient aujourd’hui à l’origine d’accidents de la route mettant en cause les piétons distraits par la musique.
Une nouvelle étude américaine dénonce maintenant sur un nouveau type d’accident de la route, aussi nouveau qu’inquiétant. Le nombre d’accidents grave impliquant des piétons écoutant de la musique a triplé en 6 ans. Il est passé de seulement 16 par an en 2004 à 47 en 2010, la majorité des victimes étant des adolescents et des jeunes adultes. Dans plus d’un quart des cas, les automobilistes ont déclaré avoir utilisé leurs avertisseurs sonores avant que le piéton ne soit heurté.
L’étude démontre également l’existence d’un lien étroit entre l’auditif et le visuel, puisqu’écouter de la musique réduirait les ressources cérébrales incluant l’attention visuelle de notre piéton. Ce serait un phénomène comparable à l’automobiliste téléphonant au volant.

Qui est le responsable dans ce genre d’accident ?


Quelque soit la raison de l’accident, la responsabilité reposera toujours sur le conducteur, censé rester maitre de son véhicule en toutes circonstances. En outre, si le piéton ne respecte pas le code de la route, il encoure une amende, mais rien de plus. Et qu’on se le dise, une nouvelle réglementation sur l’écoute de la musique sur la voie publique parait un peu tirée par les cheveux.
Il vous est donc conseillé, même si vous avez une bonne assurance auto, de rester prudent sur la voie publique, surtout si vous circulez en centre ville, où les piétons sont nombreux et loin d’être attentifs.

vendredi 27 janvier 2012

Que faire en cas d’accident, de panne ou de chute de neige ?

Les compagnies d’assurances incluent souvent de nombreuses garanties d’assistance en cas de panne ou de sinistre sur votre véhicule. Il faut donc bien regarder votre contrat d’assurance auto, car la plupart des contrats incluent la garantie assistance à partir de 50km, c'est-à-dire que si vous ne tombez en panne à 50km de votre domicile. Par contre, en cas d’accident, il faut rapidement contacter votre assurance pour savoir quelles sont les aides qu’elle pourra vous apporter.
En cas d’accident, vous pourrez quelqu’en soit sa nature, faire jouer votre assurance pour vous faire dépanner si votre véhicule est immobilisé. Elle peut également s’occuper des frais annexes comme les frais de remorquage, du rapatriement du véhicule, des frais d’hébergement durant les réparations, du rapatriement des passagers, de l’envoi des pièces détachées si elles ne sont pas disponibles sur place… Cela dépend évidemment du contrat que vous avez souscrit avec votre assurance auto. Dans tous les cas, il est fortement conseillé d’appeler sa compagnie d’assurance en cas d’accident avant d’engager toute démarche ou dépense.
Par contre, en cas de chute de neige, si votre véhicule est immobilisé, il ne sera pas possible de faire jouer votre assurance pour le faire remorquer, car il ne s’agit là ni de panne ni d’accident.

Entretenir votre voiture : les soldes ne vous ont pas oubliés !

Durant toute la période des soldes, les spécialistes automobiles sont également sur le marché, car ils proposent de nombreuses réductions. Que ce soit sur les pièces détachées ou la main d’œuvre, les soldes sont partout ! Des promotions allant jusqu’à -50% sur le deuxième pneu acheté, des promotions sur les autoradio, les enceintes, les outils de navigation, des réductions sur l’entretien du véhicule (vidange, révision, diagnostic,…). Les soldes, c’est donc également la période pour se rendre à son garage faire vérifier se voiture, et pourquoi pas acheter quelques accessoires pour la rendre encore plus belle.
N’oubliez pas qu’entretenir se voiture régulièrement, c’est aussi une question de sécurité. Les nouvelles normes du contrôle technique sont encore plus pointues, et une assurance auto ne voudra jamais vous assurer si vous ne l’obtenez pas. Il faut donc faire vérifier son véhicule une à deux fois par an, pour être certain de ne pas mettre sa vie en danger sur la route. L’entretien est également un excellant moyen de revendre sa voiture à un très bon prix, car même si elle a un bon nombre de kilomètres au compteur, l’aspect extérieur et intérieur joue un rôle très important dans la décision d’achat de l’intéressé.

mercredi 18 janvier 2012

Assurance auto : Que faire en cas de refus de l’assureur ?

En effet, dans certains cas, l’assureur peut choisir de refuser votre souscription à l’assurance auto, si vous présentez un danger pour les autres usagers de la route ou même un danger pour la compagnie d’assurance.

En cas de refus, donc, il vous faudra absolument vous procurer un document spécial de proposition de l’assureur, qui sera dans l’obligation de vous le fournir. En effet, le refus verbal de ce dernier ne suffit pas pour engager une procédure de recours.

Ce document spécial est à remplir avec la plus grande honnêteté, et avec les documents d’informations de votre ancien assureur (nombres d’accidents responsables et non responsables,…). Il vous faudra envoyer ce formulaire avec une demande de devis à l’assureur, ou déposer le tout en agence contre récépissé. Une fois vos documents réceptionnés par la compagnie d’assurance auto, elle dispose d’un délai de quinze jours pour vous répondre favorablement ou non. Il peut également décider de vous faire souscrire la responsabilité civile, sous condition de souscrire à d’autres garanties.

Si, une nouvelle fois l’assurance auto vous refuse votre souscription, il faudra vous adresser directement au Bureau Central de Tarification, avec toutes les pièces justificatives du refus de l’assurance et de votre comportement sur la route. En fonction de tous ces documents, le bureau fixera un montant de cotisation sur tarification de base de l’assureur.

Vous pouvez également refuser cette proposition, mais ceci est votre dernier recours pour obtenir une assurance pour votre véhicule.

lundi 16 janvier 2012

Le système de bonus-malus

Le système de bonus-malus est en fait le coefficient applicable à chacun des conducteurs de véhicule, sur une année, en fonction du nombre d’accidents de l’année précédente, en plus ou en moins de votre cotisation habituelle. Ainsi, les assurances auto peuvent augmenter ou diminuer votre cotisation annuelle, en fonction de si vous avez eu un accident ou non. Ainsi, si vous n’avez eu aucun accident durant l’année, votre cotisation sera diminuée. Par contre si vous avez eu un accident, un malus sera appliqué à votre cotisation, elle sera donc augmentée.

Comment cela fonctionne ?

Par exemple, vous souscrivez une assurance auto pour votre véhicule, sans bonus ni malus, vous paierez la cotisation de référence, propre à chaque assurance auto. Au départ, votre coefficient est donc de 1.

Si vous n’avez pas d’accident durant la première année, il sera appliqué à votre contrat d’assurance un bonus de 5%. Votre coefficient passe donc la première année de 1 à 0,95. Le coefficient maximal du bonus s’obtient au bout de 13 années consécutives sans accident ce qui place le coefficient à 0,50. Cela donne une cotisation annuelle diminuée de 50%.

Au contraire, si vous avez un ou plusieurs accidents, le malus est appliqué en fonction de votre degré de responsabilité, si vous êtes partiellement responsable, la majoration appliquée est de 12,5% du coefficient de référence ; mais si vous êtes totalement responsable, il sera majoré de 25%. Le coefficient de malus maximal est donc de 3,5. Mais pas d’inquiétude, vous pouvez revenir au coefficient de base après deux années consécutives sans accident.

mercredi 11 janvier 2012

Les jeunes conducteurs et les assurances auto

Il est parfois difficile de souscrire à une assurance auto lorsque l’on est jeune conducteur. Parfois, certains assureurs refusent d’assurer un jeune conducteur de peur du manque d’expérience sur la route de celui-ci. Les assureurs analysent les antécédents (conditions d’obtention du permis, conduite accompagnée ou non,…) et décident ensuite s’ils assurent le dit conducteur. De plus, il faut avant tout se renseigner auprès des compagnies d’assurances pour comparer chacun des tarifs proposés ainsi que les garanties qui vous seront proposées.

Quelles garanties pour quels tarifs ?

Les garanties sont nombreuses dans le milieu de l’assurance, et il est souvent difficile pour les non-connaisseurs de trouver l’assurance parfaitement adaptée à ses besoins. En effet l’assureur essaiera toujours de faire souscrire le conducteur à la garantie maximale, dite « tous risques », surtout s'il a des antécédents d'accident, qui est forcément la plus chère. Cette offre réunit toutes les offres de l’assurance et couvre évidemment tous les accidents, les accidents responsables, bris de glace, vol, vandalisme, catastrophes naturelles…

Mais pour un jeune conducteur, qui n’a pas forcément le budget nécessaire à la contraction d’une assurance tous risques pour sa voiture, se dirigera plutôt vers l’assurance la moins chère. Qui dit moins cher, dit forcément moins de garanties. La garantie minimale en termes de coût est la responsabilité civile. Elle est obligatoire pour chaque conducteur Français et couvre les dommages causés aux autres, les dégâts matériels (lampadaires, arbres,…) ainsi que les dégâts causés par un vol.

Pour effectuer une comparaison utile des garanties proposées par les assureurs et les tarifs qu’ils proposent, rien de tel que de visiter les sites de comparateurs d’assurances. Ils offrent une prestation gratuite et sans engagement qui vous permettront d’effectuer une comparaison entre de nombreux assureurs des tarifs très concurrentiels et garanties adaptées à vos besoins.